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Nos activités en milieu sanitaire

Les bénéfices de la participation des RU aux RMM
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La participation des Représentants des Usagers aux RMM vous intéresse ?

En lien avec l'engagement du patient et de recueil de son expérience,

prenez connaissance de l’interview des Représentants des Usagers et du Dr MOUTEL, Coordonnatrice de la Gestion des Risques Associés aux Soins au Centre Hospitalier d’Argenteuil, en présence de France Assos Santé Ile-de-France, au sujet des bénéfices de la participation des RU aux RMM.

La STARAQS présente son dispositif de participation des Représentants des Usagers aux RMM.

Pour vous visionner l’interview, cliquez ICI.

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Le premier séminaire « Sécuriser les soins périnataux dans le Val d’Oise » à l’initiative et organisé par le Réseau Périnatal du Val d’Oise (RPVO) en collaboration avec la STARAQS, sous l’égide et avec le soutien de la Direction Départementale de l’ARS (DD95), aura lieu le Jeudi 3 octobre 2024.

 

Destiné aux directeurs, chefs de service, sages-femmes coordonnatrices, coordinatrices sage-femme et directions qualité des maternités du Val d’Oise, ce séminaire a pour objectif de dynamiser la qualité des soins périnataux et la gestion des risques sur le territoire.

Pour consulter le programme, cliquez ICI.

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La STARAQS est sollicitée par l'ARS pour conduire un projet d'amélioration des connaissances sur les causes des décès périnataux et la qualité de ses données, avec les Réseaux Périnataux MYPA et PERINATIF SUD.


Ce projet vise à réduire la mortalité périnatale en IDF, avec l'analyse des chaque cas de décès périnatal au-delà de 36sa : mort in utero, IMG,  décès néonatal à moins de 7 jours de vie.

Il s'agit de conduire les RMM dans les maternités des deux réseaux concernés sur l'année 2024, pour : 

  • Identifier les causes évitables de la mortalité périnatale

  • Disposer d’un état des lieux exhaustif des décès périnataux et des indicateurs en rapport

  • Renforcer la qualité des soins en identifiant des actions d’amélioration

  • Valoriser la démarche de sécurisation des soins et des parcours ville - hôpital

  • Valoriser la démarche qualité au titre de la Certification HAS

Consultez la page dédiée au projet en cliquant ICI.

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La STARAQS a conduit une enquête régionale en lien avec les Réseaux Périnataux auprès de l’ensemble des maternités d’IDF.

Celle-ci avait pour but d'explorer : 

  • Les freins à la déclaration des Evènements Indésirables en interne, et à la déclaration des EIGS sur le portail national de déclaration des évènements sanitaires indésirables.

  •  Les ressources des maternités pour réaliser les analyses des EIGS

  • Les besoins en formation et en accompagnement lors d’une déclaration d’un EIGS

 

Pour consulter la synthèse du rapport, cliquez ICI.

Le rapport intégral est disponible sur demande par courriel à contact@staraqs.com

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Pour trouver toutes les informations concernant cette enquête, veuillez cliquer ici.

Pour consulter le retour d'expérience régional et les résultats de l'enquête en IDF, cliquez ICI.

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La STARAQS (Structure d'Appui Régionale à la Qualité des soins et à la Sécurité des patients d'Ile de France) a été missionnée par l’Agence Régionale de Santé d’Ile-de-France (ARS-IdF) pour réaliser la 3ème enquête de prévalence des escarres et du risque d’escarre. Cette enquête s’inscrit dans le cadre de la campagne « Sauve ma peau » initiée en 2013 par l’ARS-IdF. La première phase de cette campagne conduite en 2013-2015 avait pour objectif la mise en œuvre par les soignants de cinq pratiques identifiées à fort impact sur la maîtrise du risque escarre et la diminution des escarres graves. 224 établissements de santé et médicosociaux se sont mobilisés et ont ainsi permis d’éviter la survenue d’escarre à 24 911 patients à risque.

Dans les suites de son programme, l’ARS-IdF a coordonné en juin 2015 et en décembre 2017 deux enquêtes de prévalence du risque d’escarre mettant en évidence une amélioration des résultats en 2017. Elle a également mis à disposition des soignants des supports de formation innovants et ludiques sur le dépistage et la prévention des escarres réalisés par des équipes de soins. 

Pour poursuivre la dynamique régionale, une troisième enquête de prévalence du risque d’escarre a été organisée « un jour donné» réalisée entre le 30 novembre et le 5 décembre 2020, par les établissements de santé et médicosociaux de l’ile de France volontaires.

Les modalités et le questionnaire d’enquête ont été identiques aux enquêtes précédentes. Chaque établissement s’est engagé dans une charte, a défini son périmètre et saisit ses données sur une plateforme hébergée par l’ARS-IdF. L’établissement disposait de ses propres résultats dès la fin de la saisie.

 

Sur 123 établissements engagés, 89 ont réalisé l’enquête, incluant 8460 patients. 35,9 % des patients enquêtés étaient à risque d’escarre (versus 36% en 2015 et 34% en 2017). 9,37 % des patients présentaient au moins 1 escarre (9,1% en 2015, 8% en 2017), 52 % des escarres étaient acquises (47% en 2015, 50% en 2017). 1198 escarres ont été dénombrées, principalement au niveau du sacrum et des talons, 33,7 % de stade 3 – 4 (26% en 2017, 32% en 2015). L’analyse des pratiques a montré une évaluation du risque à l’entrée dans 65,5% des cas et une réévaluation dans 41,8%. La mobilisation était tracée dans 44,7%, le matelas était adapté chez 83,5% des patients à risque, les accessoires dans 63,5%. 

Malgré la situation sanitaire difficile en Ile de France à la fin de l’année 2020, 89 structures ont réalisé cette enquête de prévalence du risque d’escarre. Le taux de participation des EHPAD est moins élevé en lien avec une gestion difficile de la crise sanitaire et le lancement de la vaccination. Les résultats montrent par rapport à 2017 une augmentation du risque d’escarre tous secteurs confondus et une augmentation de la gravité des escarres, avec des résultats proches de 2015. Cependant, on note une amélioration dans l’évaluation du risque d’escarre, dans sa réévaluation ainsi que les pratiques de prévention. L’accueil de patients plus sévèrement atteints et la crise sanitaire liée au COVID ont pu avoir un impact sur la complexité et la gravité des prises en charge dans le milieu de la santé majorant l’exposition au risque d’escarre. 

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